XIII a écrit:Ralph B. est ce que tu as lus De Profundis pour affirmer des choses pareil ? Si c'est non, est au vue de tas réponse, il semblerait que ce soit non, alors ..... Parce que là,
à coup de pompe dans le c**.
Comment peux tu parler de quelques choses que "tu n'as pas lu" et dont tu as "juste entendus parler"... Lire le résumé sur le Grog ne suffit pas à ce faire une idée de ce qu'est réellement De Profundis.
J'ai et j'ai lu De P.
Non sérieux, les gars, arrêtez de croire que les gens que vous avez en face de vous (et qui ne sont pas d'accord avec vous) sont des incultes.
Et puis hé, même si je n'avais lu que le résumé du GROG, j'aurais pu affirmer sans me tromper que De P. n'est pas un jeu classique :
GROG a écrit:- Le jeu lui-même se joue par lettres. Du moins, dans sa variante principale. En fait, il emprunte énormément au "psychodrame", dans la mesure où il n'y pas de meneur de jeu, pas de scénario préparé à l'avance.
(...)
"De Profundis", qu'on pourrait ainsi essayer de catégoriser sous le terme de "psychodrame épistolaire", peut également se jouer de deux autres façons, deux variantes présentées en fin d'ouvrage :
- le "psychodrame de terrain" consiste, pour un groupe de personnes, à tenter de se persuader, dans un contexte de vie courante (un voyage en car, une marche nocturne dans la ville), de la réalité de phénomènes inquiétants, de ce genre de craintes ou d'impressions qu'on peut avoir quand on cherche à se faire peur : "N'est-ce pas des bruits de pas que l'on entend au loin ?" alors qu'on campe dans une forêt profonde, une réflexion qui peut lancer un groupe dans un délire collectif.
- une fois qu'on a intégré les principes de base de "De Profundis", la façon ultime de jouer est de le pratiquer... seul.
Ite missa est... On est quand même loin de la partie habituelle de Nephilim ou de Chapi-Chapo RPG.
Un peu de fraicheur :
Le Monopoly est il un jeu de rôle ?
Les échecs sont ils un jeu de rôle ?
Le jeu de l'oie est il un jeu de rôle ?
time's up est il un jeu de rôle ?
Je vois pas où tu veux en venir, mais je ne doute pas que tu vas argumenter ce petit trait d'esprit. Après tout, on est là pour débattre, non ?
R.