Re: Le JdR "officiel" selon la FFJDR...

En ce qui concerne la définition, j'aime expliquer l'histoire du JDR le lien entre les jeux de figurines et les reconstitutions historiques, puis l'apparition du narrativisme. au moins les gens comprennent mieux.
Perso je reste sur la base des bases. Des joueurs, un MJ, des dés, des FDPerso, des notes pour arriver à suivre. C'est le classique, c'est ce avec quoi il vaut mieux commencer si on veut initier quelqu'un au JDR. Voilà. Si je devais donner MA définition, ça serait ça.
À partir de là comme expliqué précédemment, qu'on rajoute des artifices ou qu'on enlève des éléments, ce n'est qu'une affaire de goût. Moi-même j'avais commencé à travailler sur la nourriture pour essayer d'avoir un peu plus d'immersion. Par exemple, je préparais des onigiri et autres finger food stylé japonais pour des parties de rokugan, des ragoûts pour des parties médiévales, etc... mais ça reste des artifices.
Je vais faire une analogie ultra foireuse. C'est comme quand on croise une femme dans la rue. Il y en a des femmes qui sont dans la simplicité, habillés simplement, maquillés limite pas du tout (ce que je définit comme la base des bases), Les filles qui se négligent, ne se maquillent pas voire restent en pyjama (le pas de dé, pas de FDP, pas de MJ), et les filles avec les jupes ras la salle de jeu, les talons aussi long qu'un poignard, plus de bijoux que Mister T et des ongles aussi aiguisés qu'une vibrolame (musiques, objets et tout le toutim). Du coup, soit on aime la simplicité, soit on aime l'essentiel ou les poils, soit on aime bouffer du fond de teint
Mithriel a écrit:craft00n a écrit:Je pense que oui, le vrai jeu de rôles, le bon jeu de rôles, le jeu de rôles pur, avec un MJ et des joueurs efficaces, devrait idéalement se passer de TOUT, la voie seule, la mémoire uniquement, l'imagination brut ... C'est infaisable mais le but est de s'en rapprocher : pas de musique, pas de desseins, de jeu de lumière, d'armes factice, et pour les plus forts, pas de fiches de perso, sauf si onles considère, avec les dés, comme une composants essentielle.
MAIS ...
C'est seulement mon oppinion, et je vois bien qu'elle est plutôt extrême et pas tout à fait cohérente en ce qui est des fiches et des dés ...
Certains pousseront le bouchon avec "pas de MJ".Par ailleurs, ton opinion n'a rien d'extrême, elle est même assez courante. On peut jouer avec ou sans fiches de persos, dés, musique, etc. Ça ne change pas l'essence du JdR, dans laquelle je placerais plutôt le diaglogue entre les joueur.ses (MJ compris s'il y en a un.e) et la coconstruction d'une fiction.
Perso je reste sur la base des bases. Des joueurs, un MJ, des dés, des FDPerso, des notes pour arriver à suivre. C'est le classique, c'est ce avec quoi il vaut mieux commencer si on veut initier quelqu'un au JDR. Voilà. Si je devais donner MA définition, ça serait ça.
À partir de là comme expliqué précédemment, qu'on rajoute des artifices ou qu'on enlève des éléments, ce n'est qu'une affaire de goût. Moi-même j'avais commencé à travailler sur la nourriture pour essayer d'avoir un peu plus d'immersion. Par exemple, je préparais des onigiri et autres finger food stylé japonais pour des parties de rokugan, des ragoûts pour des parties médiévales, etc... mais ça reste des artifices.
Je vais faire une analogie ultra foireuse. C'est comme quand on croise une femme dans la rue. Il y en a des femmes qui sont dans la simplicité, habillés simplement, maquillés limite pas du tout (ce que je définit comme la base des bases), Les filles qui se négligent, ne se maquillent pas voire restent en pyjama (le pas de dé, pas de FDP, pas de MJ), et les filles avec les jupes ras la salle de jeu, les talons aussi long qu'un poignard, plus de bijoux que Mister T et des ongles aussi aiguisés qu'une vibrolame (musiques, objets et tout le toutim). Du coup, soit on aime la simplicité, soit on aime l'essentiel ou les poils, soit on aime bouffer du fond de teint
