Au sortir de cette AG 2024, les objectifs associatifs et individuels sont-ils conciliables?

Mon message risque d’être long, je sais que ça n’est pas forcément évident à lire / s’approprier, mais je vais essayer de faire au mieux dans l’exposé de ma pensée.
Et, si jamais, vous pouvez directement aller voir la conclusion car je sais que j’ai tendance à faire de trop longues introductions…

Si vous avez suivi l’ensemble des discussions qui ont eu lieu pendant cette AG, vous ne pouvez pas ignorer que j’ai fortement été secoué, mais, en réalité, le souci a débuté en juillet 2022 lorsque je suis revenu au CA.
Aussi, de mon point de vue, les choses ne se sont pas aggravés pendant ce temps d’AG, mais, au contraire, j’ai enfin pu m’exprimer librement et mettre au jour certaines choses.

Je pensais qu’il y aurait une sorte de conclusion hier soir à 23h59, à la clôture des votes, mais ce sont de nouvelles questions qui ont surgi.
J’ai fait un rapide comptage et je me retrouve avec 41 voix sur 82 exprimées. Ça n’est pas agréable car cela revient à être élu (avec une majorité relative, mais pas en majorité absolue), mais dans des conditions peu satisfaisantes.
Ce matin, de son côté, Aurélien a posté un rapide calcul, mais je n’y apparais pas. Il ajoute :
« Même si les résultats ci-dessus sont éventuellement modifiés, par le rejet du vote individuel de dernière minute. Car 1 seul vote d’écart ne changera ni le classement, ni la quantité de votes majoritaires. »

Les mots sont importants : il indique « rejet du vote par mail » alors que, en réalité, la question est de savoir si on « accepte » un vote non conforme. Il indique aussi « 1 seul vote d’écart ne changera ni le classement, ni la quantité de votes majoritaires », ce qui est faux puisque, sans ce vote, je suis à 41/82 et, avec, à 41/83…
Un bon statisticien doit pouvoir faire dire aux chiffres ce que l’entreprise ou l’organisation qui l’emploie a besoin, c’est le jeu… mais ça ajoute une pique sur toutes les précédentes.

Bref… si je prends le total des voix, c’est clairement compliqué, mais, si je regarde en détail, 65 % des associations ont voté pour moi contre 12 % des individus.
Même si on prend en compte des gens qui ne m’aimeraient juste pas, on voit clairement l’influence d’une personne qui a fait adhérer des gens partageant ses idées.

C’est fait.

Au-delà de mon cas, on observe clairement que les votes associatifs et individuels ne sont pas du tout en phase.

Maintenant, prenons les votes consultatifs sur deux questions :
1/ adhésion des entreprises : 47 % des individus sont POUR et 50 % des associations sont CONTRE ;
2/ l’idée d’une AG permanente (qui est une idée très « forte ») : 52 % des individus sont CONTRE et 42 % des associations sont POUR (bon, la formulation semble étrange car je prends le vote majoritaire, le « à étudier » n’est pas anodin).

Cette disparité, on l’a observé dans les débats, elle ne sort pas de nulle part.
Aujourd’hui, les membres individuels et les membres associatifs ne poursuivent pas le même objectif.

En parallèle à la FFJdR, Nice Fictions est membre du Groupement Azuréen des Associations Ludiques (GRAAL) ; je vous mets le nom in extenso car c’est important ici.
Le GRAAL est né quelques années après la FFJdR sur le même principe : fédérer les associations, mais au local (et plus largement que le JdR, en incluant le GN notamment).

Ce qui m’a frappé tout le temps de l’AG que nous venons d’avoir, c’est que ce qui s’est passé ici n’aurait pas pu se produire au GRAAL : personne ne pourrait faire adhérer un grand nombre d’individus pour changer les votes et, de plus, l’idée est qu’un maximum d’associations siègent au CA (20 sièges).

Est-ce que deux groupes d’intérêts divergents peuvent coexister au sein de la FFJdR ?

Avant juillet 2022, je pensais que « oui ». Je ne le pense plus car ce sont des groupes déséquilibrés : on le voit notamment dans les votes, une majorité d’individus ont voté alors qu’il y a une forte abstention chez les associations.
Et c’est normal : les associations sont déjà très occupées, avec leurs activités. Pour les individus, décider des orientations de la FFJdR, c’est fondamental car ils n’ont pas d’autres structures pour porter leurs idées ou leurs projets.

Je dis « pour les individus » et c’est bien évidemment un abus de langage comme lorsqu’on dit « les hommes sont des agresseurs ». Pas tous, of course, et il y a des tas de membres individuels qui sont investis et sont à fond pour le collectif, mais le fait est que les associations ne peuvent pas changer les votes ou faire des groupes de pression comme les individus.

Où je veux en venir ?

Au sein du GRAAL, en ce moment, nous avons une discussion sur ce qu’est cette association à nos yeux. L’avantage de « groupement des associations », c’est que c’est plus explicite que « fédération » où il faut se rappeler que, en France, les fédérations sont des associations d’associations.

Dans la discussion, une personne a écrit :
« Ce n est pas le rôle des fédérations d’organiser des évènements mais elles les supportent et les soutiennent »

Le gros point mis en avant par le groupe issu de Paris, c’est qu’ils sont présents dans des conventions au nom de la FFJdR alors que, plusieurs fois, j’ai essayé d’évoquer l’idée que ce serait mieux de soutenir la création d’une association parisienne qui réunirait les associations et individus pour ces évènements et de laisser la FFJdR sur des missions plus interassociatives.

Dans la réalité concrète du CA de ces derniers mois, Stéphane, Lionel et moi (qui sommes représentants d’associations) travaillions sur les outils collectifs comme le site web, la carte des conventions, le suivi des délégués… tandis que Marie bossait sur les évènements parisiens.
Je comprends l’idée : ça semble plus valorisant de se présenter aux organisateurs de la Japan Expo comme la « fédération française » que comme « l’association parisienne de promotion du JdR ».

Et maintenant ?

Soit on fait cohabiter les deux groupes, soit on accepte un divorce propre.
Plus haut, j’ai écrit que je pensais que la cohabitation était impossible et j’explique pourquoi :

Les deux années passées au CA, Marie était « responsable des événements ». A mes yeux, un responsable est une personne qui assure le suivi, mais qui décide avec le CA. Elle a engagé la FFJdR sur plusieurs events sans consultation (alors que, aussi bien, on aurait voté « pour »), mais, également, elle a refusé qu’on reprenne le chantier d’un « Manuel des Conventions » et, parce qu’elle était « responsable des évènements », comme je l’ai expliqué dans un autre post, elle a créé des ennuis entre la FFJdR, que je représentais, et le GRAAL qui était au FIJ.
Alors, oui, ces ennuis sont tout relatifs dans la mesure où, en tant que membre du GRAAL, j’ai pu expliquer la situation, mais c’est l’idée globale.
Cette casquette de « responsable de » a même débordé sur la réalisation des visuels.

Que je fasse partie du CA ou non désormais, étant donné le soutien qu’elle peut recevoir, il est possible que ce statut de « responsable des évènements » ne soit pas remis en cause et, de fait, les dysfonctionnements précédents vont perdurer.
Pendant ce temps, nous étions trop peu nombreux à nous soucier du site, du forum… et, ces derniers jours, dans mes échanges avec certains d’entre vous, ce qui est ressorti, c’est le risque d’épuisement : nous étions déjà peu à nous soucier des outils interassociatifs, mais comment cela peut évoluer si certains de ces « peu » sont carrément éliminés ?
Parce que, bon, appelons un chat un chat : vous vous doutez que, perso, mon engagement envers la FFJdR est effrité ? Et c’est paradoxal car, quand je vois que j’ai 65 % des voix des associations, je me dis qu’il y a encore plein de choses à faire.

Et donc ?

On ne pourra pas trancher par vote / en changeant les statuts la part individus / associations (car les associations et les individus ne vont probablement pas voter dans le même sens l’évolution de nos statuts) et, de fait, la FFJdR ne peut que s’éloigner (juste plus ou moins) des associations qui étaient son cœur.
Lutter contre des membres individuels décidés à aller quelque part est épuisant et chronophage. Ils veulent s’appeler « fédération française » car ils sont plus heureux ainsi ? Laissons-leur…

– Mais c’est dur de recréer quelque chose et la FFJdR a presque 30 ans !
– Ca n’est pas vrai, on crée des associations souvent. J’étais à la fondation de la FFJdR, j’étais son président en 2014 quand elle devait disparaitre : on peut parfaitement relancer un collectif d’associations.

Parce que nos craintes, en plus de la peur de l’érosion de notre engagement, c’est la crainte de perdre le contact, le réseau que nous avons créé… et nous pouvons le continuer autrement.
En 1996, on a pensé à « fédération » car on voulait montrer qu’on était organisés aux institutions qui se méfiaient du JdR, mais, aujourd’hui, notre intérêt commun est de construire un réseau et « collectif » me semble plus approprié.

– Donc, en gros, tu dis qu’on laisse la FFJdR à ceux qui en ont envie au point de faire adhérer plus de membres individuels pour fausser les votes et on part sur un collectif ?
– Oui…
– Faut y réfléchir, ça prend du temps, faut voir…
– On a tout le temps du monde. Je pose ça ici juste pour qu’on n’oublie pas de maintenir le lien entre nous, de réfléchir, d’apprendre à se connaitre…

Bref, ne perdons pas les liens que nous avons créés et, pourquoi pas, je vous invite à venir vers le GRAAL aussi :blush:

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Ce qui me choque effectivement dans ce qui a été décrit dans les problèmes exposés concernant la gestion du CA de la FFJdR de ces 2 dernières années, c’est effectivement que la membre du CA Marie L. a engagé l’association sans la concertation et le soutien de son CA. On ne deviens pas membre du CA pour faire ce qu’on veut au nom d’une association. J’espère que la FFJdR saura faire preuve de plus de démocratie et de collaboration.

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Il est évident que le CA a dysfonctionné.

On ne peut rejeter la seule responsabilité sur Marie. Elle était responsable des events et a travaillé sans la contrôler. Nous l’avons laissée faire en toute connaissance de cause.

Il faudra faire mieux pendant les deux années qui viennent.

Le point fondamental issu de l’AG est sur la nature de la FFJDR. Jusqu’à maintenant, elle a toujours accueillie associations et membres individuels.

Une forte pression est exercée en ce moment pour qu’elle devienne une association d’associations. Il faut y réfléchir à froid.

Si on prend cette option, il faudra donner un accès aux personnes individuelles qui souhaitent continuer à travailler dans la FFJDR.

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Je n’ai pas compris ce point dans ton message :
Perso, je perçois plutôt l’inverse, à savoir qu’il y a une volonté qu’elle s’en éloigne, d’où mon invitation, aux associations, à prendre d’autres chemins plutôt que de lutter ici.

Bien sûr, il faut laisser passer du temps, de la réflexion… mais il ne faut pas non plus que les associations attendent en vain un espace qui ne viendra pas.

Le temps passe très vite. On est embarqués dans l’orga de ceci, dans l’orga de cela, c’est les vacances d’hiver, de printemps, l’été, Noël…
Donc je préfère ouvrir des portes, quitte à ce qu’on n’en ait finalement pas besoin, plutôt qu’on se réveille dans un an et que nos réseaux se soient effilochés :smile:

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Je ne rejette aucune responsabilité. Si un·e membre du CA engage l’association sans concerter les organes démocratiques de décision de l’asso, c’est un vrai problème. Il pourrait être utile de pouvoir consulter les compte-rendus du CA pour l’année qui va venir, et de vérifier que les projets et décisions sont prises en concertation, sinon la représentativité et le respect des statuts et de l’objet de la FFJdR vont s’en ressentir.

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Nous percevons la situation de manière différente. Cela prouve qu’un débat est ouvert.

A mon sens, il faut le mener à bien et ce sera aux adhérents de choisir.

En l’état actuel, la FFJdR est une association d’associations qui admet les adhésions individuelles.

Personne n’a réellement suggéré qu’elle ne regroupe plus les associations qui constituent sa colonne vertébrale.

Le débat est loin d’être clos. en fait, il n’a pas encore eu lieu.

Souhaites tu que la FFJdR n’admette plus les adhésions individuelles?

Il existe une zone grise. Si un membre du Ca est chargé d’une tache, il ne va pas consulter celui-ci toutes les semaines. S’il l’accomplit cette tache pendant des années et si le CA qui a constaté ce qui se passe laisse faire, il y a un problème de fonctionnement collectif, pas un problème individuel .

Pour la suite, tu as raison. Il faut que le CA revoit ses méthodes de travail, fixe des cadres. et contrôle.

Après réflexion, je précise.

Le débat entre Sybille et Marie est né des actions de Marie en région parisienne.

Si j’ai bien compris, Sybille pense qu’il n’appartient pas à la FFJdR d’intervenir sur les évènements, sauf exception, alors que Marie est plus pour une présence systématique.

Le CA n’a pas tranché. Il appartiendra au prochain CA de le faire. Mais on ne peut déduire de ces faits une volonté de modifier la nature ou le fonctionnement de la FFJdR.

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Perso, j’ai toujours été favorable aux adhésions individuelles. Nous avions commencé à débattre de l’idée de collège, à savoir ne pas limiter les individuelles (sur quelle base ? On prend qui et on rejette qui ?), mais poser dans les statuts que, mettons, les votes des membres individuels ne peuvent pas représenter plus de 33, 25… % des votes totaux.
Ce qui fait sens si on se dit qu’une association, en général, représente disons entre 10 et 40 personnes…
Maintenant, comme de nouveaux statuts doivent être votés dans la configuration actuelle, j’ai de sérieux doutes que les votes individuels permettent ce changement.

On avait en tête l’idée que personne ne ferait adhérer ses connaissances pour surreprésenter des idées ou projets.

Après, je me dis qu’il y a peut-être eu aussi un défaut de pédagogie :
Nous savons qu’il convient de convaincre un max d’assocs de nous rejoindre (pour être représentatifs), mais j’avais noté que Marie, dans ses mails lors des orgas sur Paris, incitait les bénévoles à adhérer.
Si un bénévole voulait s’engager sur d’autres projets avec la FFJdR, ça n’était pas une mauvaise idée en soi, mais, là, il s’agissait visiblement de bénévoles venus juste pour l’évènement lui-même.
C’est un contresens, mais, dès mon arrivée au CA, Marie m’avait pris en grippe (je ne sais toujours pas pourquoi, mais ce n’est pas de ma responsabilité de le comprendre), mais, si le nouveau CA met en place des procédures plus claires, peut-être que, déjà, on peut éviter un flot d’adhésions pour le futur.

Il existe une zone grise. Si un membre du Ca est chargé d’une tache, il ne va pas consulter celui-ci toutes les semaines. S’il l’accomplit cette tache pendant des années et si le CA qui a constaté ce qui se passe laisse faire, il y a un problème de fonctionnement collectif, pas un problème individuel .

Je lis ta réponse en sachant que tu te sens (en partie) responsable de ce qui s’est passé donc, forcément, cela influe ma lecture, mais il n’existe pas de zone grise.
Dans nos boulots, nous savons tous distinguer le courant et ce qui doit être référé à l’équipe, au chef, au binôme…
Si je prends la tâche de « responsable des évènements », suite à mes nombreuses alertes, nous avions mis en place un système : les tâches courantes étaient notamment de répondre aux demandes de renseignements, mais pas d’engager la FFJdR sur un évènement.

Je rajoute la nuance, car elle peut être utile pour la suite et les organisations à venir, qu’il faut bien évidemment distinguer le fait de tenir un stand sur un event organisé par une association membre et le fait de tenir un stand au nom de la FFJdR en tant que telle alors qu’aucune association n’est présente.
Dans les difficultés qu’on a pu notées, il y a déjà le fait que la personne en charge peut avoir des difficultés avec telles ou telles personnes et cela a conduit à des incidents, au moins avec une association.

J’ai également eu le retour de « personnalités » qui ont été abordées avec un discours plutôt gênant (« la FFJdR réclamerait de l’argent à des créateurices »), donc je pense qu’il serait bon de mettre aussi en place quelques éléments de langage.

Si j’ai bien compris, Sybille pense qu’il n’appartient pas à la FFJdR d’intervenir sur les évènements, sauf exception, alors que Marie est plus pour une présence systématique.

J’édite mon message puisque tu as édité le tien :slight_smile:
Ma position est que le CA doit décider de l’opportunité de participer aux évènements.
Je ne suis pas contre, je pense qu’on doit réfléchir à ce qu’on fait.
Il n’y a pas eu de « débat », en réalité, et ce n’est pas parce que Marie faisait des évènements sur Paris que j’ai alerté plusieurs fois le CA, mais parce qu’elle faisait les choses sans consultation. Elle a notamment validé des visuels de son propre chef sans consulter l’équipe ou bloqué des projets.

Je pense qu’on s’éloigne du sujet principal si on parle trop des évènements sur Paris car le fond est plutôt :
le fonctionnement du CA avec des règles claires ;
la place des membres individuels et la raison de leur adhésion.

Pour les évènements,
je vais préciser de façon plus pratique : si une personne participe à beaucoup d’évènements, elle n’a pas le temps de faire autre chose pour le CA. Ca a été le cas de Marie, qui était sur des events, mais pas présente dans les discussions, pour le site ou les outils collectifs.
Ce n’est pas un problème qu’une personne se spécialise, mais j’avais fait remarquer que, dans ce cas, sa place serait plus comme déléguée régionale (ce qu’elle était donc de fait) que comme membre du CA où elle n’était pas forcément à l’aise et à sa place.
Je maintiens que le CA doit réunir des gens qui sont disponibles pour des tâches globales.

Si la tâche est accomplie en tant que délégué régional, ça a du sens.
Si la tâche est accomplie par le CA (et, de fait, 1/12e (puis 1/6e) du CA, c’est déjà une partie des RH du CA), cela signifie que le temps du CA est engagé sur des actions locales (une ville) alors que le poste pourrait être occupé par une personne ayant des disponibilités pour des tâches plus nationales.

Sur ma lancée, je réponds aux arguments que j’ai pu lire de Marie qui dit qu’elle a été présente hors Paris… sur des stands au sein d’orga faites par des associations, ce qui est très différent.
Notamment, au FIJ, elle est venue car cela lui faisait plaisir, mais elle n’était pas en responsabilité et nous étions assez de 2, elle est venue « en plus ».

Quant à Aurélien, il a sorti de beaux chiffres pour expliquer que les events sur Paris touchaient d’autres régions… oui, comme les Utopiales, Octogônes, le FIJ ou…
J’ai proposé d’aider à monter une association sur Paris, qu’on voit ça sous l’angle délégué… Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait rien faire.

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J’ai également annoncé que j’attends des chiffres en retour, pour comparer. Beaux ou pas, ce n’est pas leur apparence qui compte pour le débat.

La question réciproque mérite aussi d’être étudiée, sur la limitation des associations à 66%, pour éviter que les adhésions individuelles perdent leur sens. L’intérêt d’une Fédération n’étant pas de faire trimer sans contrepartie des bénévoles individuels au profit d’associations, il faut un intérêt réciproque à faire grandir le collectif.

J’ajoute si besoin que cette année l’AGO a bénéficié de 29% de participations individuelles et l’AGE a bénéficié de 32% de participations individuelles, ce qui est proche mais reste en faveur du poids associatif. Si ça continuait dans cette lancée, il n’y a visiblement pas à douter que les associations conservent leur latitude décisionnelle pour appuyer ou contrebalancer toute éventuelle modification statutaire en ce sens.

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Je ne comprends pas le point de vue que tu défends.
La FFJdR est une association d’assocs donc au service de celles-ci.
Quand, en tant qu’individuel, on rejoint la FFJdR, c’est par définition pour travailler au profit des associations même puisque c’est notre objet.
Il n’y a aucun intérêt réciproque quand on fait du bénévolat…

'fin, bien sûr, il y a le plaisir d’avoir fait du bon boulot, de contribuer à quelque chose… mais l’essence même du bénévolat est de donner sans retour.
C’est ce que nous faisons dans nos assocs et parce que nous croyons à cet esprit que nous nous fédérons.

(Je précise qu’il n’y a aucune ironie dans mon intervention. Je suis sidéré au sens premier car je ne comprends absolument pas où tu veux en venir.)

J’ajoute si besoin que cette année l’AGO a bénéficié de 29% de participations individuelles et l’AGE a bénéficié de 32% de participations individuelles, ce qui est proche mais reste en faveur du poids associatif. Si ça continuait dans cette lancée, il n’y a visiblement pas à douter que les associations conservent leur latitude décisionnelle pour appuyer ou contrebalancer toute éventuelle modification statutaire en ce sens.

La question des votes individuels ne se serait pas posée s’il n’y avait pas une forte proportion issue d’un groupe commun, ce qu’on ne peut que constater au regard des résultats.
C’est fait, c’est passé, mais il ne faut pas nier les choses si l’on veut repartir du bon pied.

Juste une remarque : L’objet de la FFJdR tel que défini par les statuts ne mentionne que 2 fois le terme « association », et ce uniquement pour se définir elle-même.

Alors amener de nouveaux membres potentiels est bien travailler au profit des associations, il n’y a pas de doute. Pour le reste, si je suis parfaitement d’accord sur le fond du propos (l’aide à apporter), le texte ne parle pas d’interventions auprès des assos qui de fait n’est pas à considérer comme l’alpha et l’omega de l’action de la fédé, mais :

A partir de là, dire que la FFJdR n’a rien à faire dans les événements type conventions, manifestations diverses ouvertes au grand public, etc. pour renvoyer cela à des assos locales, qui n’ont pas obligatoirement le pli pour ça, ni une assise pour discuter avec les organisateurs du niveau de ce que permettent la définition et la durée d’existence de la FFJdR, aurait quand même tendance à être en désaccord avec les statuts mêmes de celle-ci.

Là je serai en désaccord quant au rôle de la FFJdR peut/devrait jouer. En quoi tenir un stand dans un event organisé par une association membre sera plus profitable en terme de « information et formation du public sur le jeu de rôle ludique » (premier élément de l’objet de la fédé, rappelons-le) que « tenir un stand au nom de la FFJdR en tant que telle alors qu’aucune association n’est présente ». Ce qui a été fait durant des années, en région parisienne principalement puisque, centralisme jacobin oblige, c’est là que se tiennent/tenaient le plus d’événements d’ampleur (pendant longtemps, en dehors de Paris, on comptait pratiquement au niveau ludique de taille importante, que le FIJ, OctoGones et les Uto -plus axées sur la SF et l’imaginaire que sur le jeu proprement dit- et même aujourd’hui, pour toucher du grand public, en dehors de la capitale, ça se compte sur les doigts de la main).

Sinon, de par son existence même avec son titre (un peu ronflant peut-être) et le fait qu’elle représente des assos, il faut quand même se dire que la fédé fournit un appui « de fait » aux assos qui ont à gérer des interlocuteurs admins ou orgas.

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Comme la discussion a déjà eu lieu il y a quelques jours, je ne reviendrai pas en détails dessus.
Juste, les points que j’ai évoqués :

  • le mot « fédération » n’a pas été choisi pour faire ronflant, mais parce qu’il correspond à une définition ;
  • les statuts sont volontairement larges pour qu’on puisse tout faire et je trouve un peu étrange de me les ressortir quand j’explique pourquoi ils ont été rédigés de cette façon…

dire que la FFJdR n’a rien à faire dans les événements type conventions, manifestations diverses ouvertes au grand public, etc.

Ca tombe bien car personne ne le dira :sweat_smile:

Là je serai en désaccord quant au rôle de la FFJdR peut/devrait jouer. En quoi tenir un stand dans un event organisé par une association membre sera plus profitable en terme de « information et formation du public sur le jeu de rôle ludique » (premier élément de l’objet de la fédé, rappelons-le) que « tenir un stand au nom de la FFJdR en tant que telle alors qu’aucune association n’est présente ».

Tu réalises que tu dis que tu es en désaccord avec le fait que j’ai dit que, quand on observait un event, on devait réfléchir à deux catégories distinctes, à savoir que ça ne pouvait pas être le même engagement de participer en tant que FFJdR (fournir des MJs, des parties…) ou tenir un stand d’infos (l’assoc orga s’occupant des MJ) ?

Parce que tu réponds sur « le rôle de la FFJdR » alors que, juste, ce n’est pas le sujet où figure l’extrait que tu cites ?

Bref, ça m’ennuie un peu car je ne vais pas te contredire puisque je suis d’accord avec toi, mais que, si je ne réagis pas, les gens risquent de retenir « je serai en désaccord » et de croire, avec une lecture un peu rapide, que j’ai écrit le contraire ?

Ce qui a été fait durant des années, en région parisienne principalement puisque, centralisme jacobin oblige, c’est là que se tiennent/tenaient le plus d’événements d’ampleur (pendant longtemps, en dehors de Paris, on comptait pratiquement au niveau ludique de taille importante, que le FIJ, OctoGones et les Uto -plus axées sur la SF et l’imaginaire que sur le jeu proprement dit- et même aujourd’hui, pour toucher du grand public, en dehors de la capitale, ça se compte sur les doigts de la main).

Je ne te rejoins pas sur ce point puisque ça me semble inexact, mais, en vrai, ça n’a pas grande importance ici donc bon…

Nous sommes d’accords sur ce point toi et moi, à moins que tu aies tiré bénéfice personnel ou associatif à avoir participé au CA depuis 2022. Quoi qu’il en soit, cet idéal est une utopie précisément parce que n’est pas le cas de tout le monde. Sans compter qu’un bénévole mérite parfois davantage que du plaisir ou un simple remerciement pour ses actions.

  • Adhérer en qualité d’association, c’est une action qui sollicite parfois davantage de contreparties que l’adhésion d’un individuel. Ne serait-ce que par le bénéfice obtenu par le croisement de la visibilité et des communications respectives.
  • Donc inciter uniquement des associations à adhérer, revient selon moi à se méprendre sur les objectifs décrits dans les statuts. Précisément parce que l’action d’un adhérent individuel est encore plus méritante lorsqu’il s’agit effectivement d’une implication pure, sans contrepartie, comme tu l’évoques ici.
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Si quelqu’un vient pour « autre chose », il ne peut qu’être déçu ou je n’ai pas compris ta réponse ?
Je dirais qu’il est super important de bien signaler qu’il ne trouvera rien ou on va se retrouver dans de mauvaises situations : déception, colère…

Sans compter qu’un bénévole mérite parfois davantage que du plaisir ou un simple remerciement pour ses actions.

Un bénévole, qu’il soit individuel ou associatif, est susceptible de donner autant et ne recevra qu’un merci…
Tu verrais quoi sous cette idée de « mérite » ? (J’ai du mal avec le mot en général, mais, bon, je veux bien le garder ici :sweat_smile:)

Adhérer en qualité d’association, c’est une action qui sollicite parfois davantage de contreparties que l’adhésion d’un individuel. Ne serait-ce que par le bénéfice obtenu par le croisement de la visibilité et des communications respectives.

Non…
Il n’y a pas d’unité de mesure de l’investissement.

Précisément parce que l’action d’un adhérent individuel est encore plus méritante lorsqu’il s’agit effectivement d’une implication pure, sans contrepartie, comme tu l’évoques ici.

Bon, là, dans cette partie, je tique sur « méritante ». Le mérite n’existe pas ou, en tout cas, il n’est pas un outil d’évaluation.
Un adhérent, c’est quelqu’un qui signe le contrat social : une association, c’est un contrat entre plusieurs personnes pour aller vers un objectif commun.
Si, au fil du temps / des années, des membres rejoignent le contrat avec une autre idée en tête que ce qu’il était, ça change fondamentalement la structure.
Donc il y a deux façons de voir les choses :
1/ Inciter à adhérer des membres qui vont dans le même sens ;
2/ Faire adhérer des gens avec un objectif différent et, à un moment donné, on se retrouve donc avec deux « positions » irréconciliables par essence puisque pas venues pour les mêmes raisons.

Mon post d’origine dit juste : si le moment du divorce est venu, actons-le. Je ne suis pas du genre à m’attarder lors d’un divorce.
Guillaume me répond que ce que je dis est prématuré.
OK

Donc j’ai envie de dire qu’on entre dans la phase d’évaluation : qui veut quoi comment ?
Et, dans cette phase, chacun peut dire que les gens devraient adhérer pour l’idée qu’il se fait de la FFJdR, mais on ne va pas mesurer qui a fait quoi car chacun a fait en fonction des objectifs qu’il suit.

Après, clairement, je parle de divorce parce qu’une personne a agi d’une mauvaise manière pour ses objectifs et que ça me révolte, mais, si dans les mois qui viennent, on s’aperçoit qu’une cohabitation est possible, je n’y suis pas hostile s’il n’y a plus de mensonges ou de manipulations.
Si chacun dit clairement ce qu’il va faire et ne force plus et qu’on trouve un consensus, ce sera très bien.

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Ah! Voilà le fond du problème entre toi et moi:

  • Il semble que selon toi il soit indispensable de filtrer les entrées pour privilégier les personnes qui vont dans le même sens que les administrateurs en place ou qu’une vision originale, par exemple relative à la création de la Fédération et du choix de son appellation. Mais ça ne semble pas très inclusif comme point de vue… Et à terme, c’est quoi l’objectif? Essayer de Fédérer tous les pratiquants de France à prendre modèle sur la Fédération ou provoquer sciemment le constat que la Fédération a une position incompatible avec certaines actions en France? Effectivement il y aurait de quoi tirer le signal d’alarme si tout le monde avait cette vision étriquée!
  • Mon opinion, c’est effectivement qu’une Fédération doit être plurielle, pour être représentative de toutes les pratiques. Et c’est précisément l’un des points que je compte aborder en CA: commencer la réflexion par une évaluation des pratiques modernes et surtout de leurs distributions actuelles, afin de déterminer l’attention qui doit être redistribuée à chaque pratique ensuite. Parce qu’une diversité des membres du CA n’est effectivement pas pertinente, considérant le risque que certains ne s’impliquent que pour leur propre vision du JdR, comme tu sembles également le faire, plutôt que d’adopter un regard objectif sur la diversité courante, mouvante et évolutive.

J’explique plus en détails si besoin: Écouter l’avis de personnes impliquées comme toi, qui souhaitent orienter les actions Fédérales, c’est une base indispensable à la réflexion du nouveau CA. Mais ça ne peut pas suffire: il faut aussi sonder l’opinion de nombreux autres collectifs en France, qui n’ont généralement pas une existence légale comparable aux associations, du fait que le JdR est essentiellement une activité collective. Que le JdR se pratique dans des lieux publics, qui nécessitent un cadre légal tel que l’associatif, ou qu’il se pratique dans le privé ou sur des plate-formes plus ou moins visibles/visitées, le JdR contemporain admet plusieurs formats, généralement collectifs, qui ne se limitent pas au cadre associatif. Avec cette vision là tu adopterais peut-être un peu plus d’attention à tout adhèrent individuel, qui devance souvent son propre collectif de joueurs lorsqu’il approche une Fédération.

Et oui, je remplace volontairement tes chiffres par une liste de points, parce que je ne veux pas imposer d’ordre comme tu l’as fait.

Dans le cadre associatif on s’adresse aux associations, evidemment aux membres qui adherent à ces associations (y compris en direct à l’association ffjdr) et eventuellement (c’est à debattre) aux associations dites « de fait », mais c’est tout. Il y a un cadre precis.

OK
Franchement, si c’est ton idée du « débat », je laisse tomber : tu réinventes ce que je dis de façon tellement grotesque que répondre serait épuisant et inutile.

Pour mémoire, débattre, c’est écouter l’autre puis répondre à ce qu’il dit.

Et oui, je remplace volontairement tes chiffres par une liste de points, parce que je ne veux pas imposer d’ordre comme tu l’as fait.

Je suis impressionné par autant de mauvaise foi. Je ne sais pas si je suis admiratif ou scié.
Je fais une liste = j’impose un ordre (!!!)
Tu fais une liste = tu n’imposes rien car, tu vois, il y a la bonne liste et la mauvaise liste et la bonne liste, elle… :rofl:

Hum… Le terme « ronflant » prête peut-être à confusion mais l’idée est quand même de donner une impression de « plus grand » pour crédibiliser auprès des interlocuteurs à l’époque où le JdR était sous le feu des critiques.

A l’époque, il nous (la FFJdR) a été pas mal reproché de l’avoir utilisé (alors que dans l’esprit de pas mal de gens, la démarche aurait été de regrouper des associations PUIS une fois une taille raisonnable, et donc une représentation jugée légitime, acquise, de passer en fédération) empêchant ainsi une autre structure de le prendre. Lors d’une des rares occasions où j’ai pu discuter avec François Toucas, quand on préparait les consultations pour les Etats Généraux, où j’avais un temps représenté la FFJdR, et où j’avais évoqué ce reproche, il avait d’ailleurs admis que l’image que le terme pouvait donner représentait un avantage qui n’avait pas été sans influence quant au choix du terme.

Et tu le confirmes d’ailleurs toi-même :

« En 1996, on a pensé à « fédération » car on voulait montrer qu’on était organisés aux institutions qui se méfiaient du JdR »

Donc oui le terme ronflant est peut-être (probablement) discutable, mais l’idée est bien là. Et c’est ce terme de fédération et l’image qu’il amène avec lui, qui peut, comme je le disais, fournir un appui aux assos dans des discussions avec telle ou telle institution administrative, qu’un « collectif » ou un « groupement » aura probablement plus de mal à fournir.

Une remarque entendue par exemple lors d’une des présences sur un stand à la journée annuelle des assos de Boulogne Billancourt où nous avions pu être présents (nous avions contacté la mairie sur suggestion de la Ludothèque afin de prendre en charge la présentation au grand public, lui laissant la liberté de se concentrer sur les visiteurs intéressés par la rejoindre), à la fin des années 90, et qui m’est restée était une visiteuse qui avait commenté « j’avais cru que le JdR était une activité nocive, mais je vois qu’il y a une fédération, ça me rassure ».

Quand je lis « c’est par définition pour travailler au profit des associations même puisque c’est notre objet » tu affirmes une chose qui n’est juste pas présente dans le texte même des statuts. Ou alors j’aurais une mauvaise version que j’aurais citée ?

On peut dire que « les statuts sont volontairement larges pour qu’on puisse tout faire », mais cela veut juste dire qu’ils n’interdisent pas ce que l’on peut proposer, et en aucune façon qu’ils en font « l’objet » (un terme clair avec un sens administratif -juridique?- précis) de l’association. Comme l’a dit, avec raison, quelqu’un dans ce même fil de discussion : « Les mots sont importants »

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Franchement, est-ce que tu réponds pour faire avancer le débat ou pour le noyer ? (Et il n’y a pas d’ironie ici, je suis très perplexe devant tes messages depuis quelques temps. Je suis en train de me demander ce qui t’aurait été dit pour que tu me lises si mal.)

Je rappelle quand même pourquoi j’ai lancé la réflexion ici :
Il y a aujourd’hui deux points de vue divergents au sein de la FFJdR et j’ai des doutes depuis que j’ai observé les méthodes de l’un des points de vue.
Donc je propose d’imaginer un collectif qui nous sorte de là s’il y a impasse, mais Guillaume pense que ma proposition est prématurée.
Je serais tout à fait heureux que les deux points de vue puissent coexister, mais cela nécessite du respect envers l’autre, de lui laisser de la place et de ne pas tenter de l’étouffer.

Donc, oui, l’objet a été prévu « large » et, de fait, l’un des points de vue peut s’approprier la FFJdR en ayant l’air « propre » (si on oublie les médisances colportées pour changer les votes).
Donc, oui, je suis tout à fait d’accord avec toi car je sais pourquoi on a choisi « fédération », j’ai revu les statuts en 2014, etc.
Me redire ce que je sais et qui est public, ça amène quoi ?

Fédération signifie « association d’associations » même si ce n’est pas écrit dans l’objet : c’est dans le titre.
Si je crée une « association des amis des chats » et que je mets dans l’objet « protéger les animaux », tu vois l’idée ?
Si plein de gens adhèrent en disant qu’on doit surtout s’occuper des chiens, ils peuvent car on n’a pas bordé le truc en comptant que la bonne foi des gens. Tant pis.
Mais tu ne peux pas dire que celui qui pense avoir adhéré « pour les chats » dit des choses erronées.
Et, d’ailleurs, sur un plan juridique, si, en titre d’un contrat, il y a écrit « fédération », personne ne peut prétendre qu’il ignore que c’est une association d’associations.

Est-ce que tu réalises que, depuis le début, je n’ai jamais parlé d’interdire quoique ce soit à qui que ce soit ? Que tu es en train de participer à la confusion ?
Je suis carrément super partant pour qu’on fasse plein de trucs dans le JdR. Ce n’est pas moi qui ai choisi de tenter de verrouiller le CA en poussant des candidats qui ont le même projet.

Donc on peut discuter du fond ?
Perso, sauf si c’est énorme, je n’essaierai plus de répondre aux tentatives de faire dévier le sujet. Parce que, bon, là, ça tourne en rond pour essayer de me faire dire des trucs que je n’ai jamais dits… ni même pensés.

Oui, je suis stupéfait devant certains propos, mais ça ne va pas me faire dire que je suis contre tous les membres individuels ou contre ceci ou cela.
Je suis uniquement contre le mensonge et la manipulation.

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Y a pas de débat, il faut être honnête, y a une guerre déguisée sous couvert de débat… Arrêtez de vous voiler la face. Chaque message, quasiment, s’envoie des pavés dans la tronche.

Un débat ne peut avoir lieu si on laisse parler ses sentiments systématiquement ou si on attaque ou répond aux attaques (sous couvert ou pas), sinon c’est un débat mais pas objectif.

Un débat, c’est un échange, il ne s’agit pas de convaincre l’autre qu’on a raison, hors c’est clairement à ça qu’on assiste ( raison pour laquelle j’ai personnellement arrêté). Mais d’apprendre les uns des autres, il faut être ouvert à un changement d’avis. Si de base on est convaincu de connaître LA vérité, ce n’est pas la peine.

Quand il n’y a que des « moi je », bah, ce n’est pas un débat, c’est une joute oratoire (à l’écrit tu es là en occurrence…).

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